Pendant un temps, je me rendais souvent à Prague […] J’arrivais tôt, à la tombée de la nuit, avant que ne s’allument les réverbères. Je faisais les cents pas le long du quai sombre – j’allais loin ! Il y avait un endroit, un lampadaire – sans lumière – c’est là que je vous convoquais. […]
Je ne dirais pas que vous m’êtes indispensable, vous êtes in-contournable dans ma vie, où que je pense, le réverbère se dressera sur tous mes chemins. Je ressusciterai le réverbère.
Marina Tsvetaeva
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